Voici trois idées reçues qui continuent d’entraver la pleine exploitation de son potentiel.
1. « Si c’est assisté, ça doit être compliqué. »
Beaucoup pensent que l’ajout d’un professionnel qualifié alourdit le processus. En réalité, la télémédecine assistée simplifie l’expérience du patient :
- Mesures précises des signes vitaux et bonne utilisation des appareils
- Moins de problèmes techniques
- Le médecin reçoit des informations standardisées et de haute qualité
Résultat : des consultations plus fluides et décisions médicales plus fiables.
2. « Cela remplace les soins en personne. »
La télémédecine assistée n’est pas conçue pour remplacer les consultations physiques. Elle les complète. Elle offre une solution sûre pour les patients qui, sans cela, retarderaient leurs soins, en particulier dans les zones rurales, les programmes de santé en entreprise, les écoles ou les prisons.
Résultat : Détection plus précoce, meilleur triage et continuité des soins là où il n’existe aucune alternative.
3. « C’est trop coûteux à mettre en place à grande échelle. »
Le déploiement initial nécessite certes des équipements et des formations, mais la valeur à long terme est évidente :
- Moins de transferts inutiles
- Optimisation du temps des spécialistes
- Amélioration de la couverture dans les zones mal desservies
Résultat : Les pays qui ont déployé des réseaux de télémédecine assistée font état d’importants avantages financiers et opérationnels dès la première année.
Pourquoi est-ce important ?
Chacune de ces idées reçues ralentit l’adoption d’une solution éprouvée et centrée sur l’humain qui peut :
- Elargir l’accès aux soins de santé
- Renforcer les systèmes de santé
- Soutenir les cliniciens dans des environnements aux ressources limitées
La télémédecine assistée n’est pas seulement un outil numérique, c’est un moyen pragmatique de fournir des soins équitables.
